Une commune sous de fortes contraintes
- des espaces naturels, un patrimoine paysager, des monuments et des sites classés ou inscrits menacés par une évolution trop rapide de l'urbanisation ;
- une urbanisation pas ou trop peu pensée, disparate et désorganisée, sans liens sociaux entre les quartiers et qui destructure l'espace communal ;
- une vocation résidentielle de la commune mal maîtrisée qui la transforme en village dortoir, sans convivialité ni échanges ;
- un marché de l'immobilier et un foncier soumis à de très fortes tensions ;
- des pressions externes (SCOT de Nimes, département, spéculations, transferts des équipements depuis Sommières…) pour accroître inconsidérément l’urbanisation de la commune ;
- un centre village dévitalisé, quasiment sans commerces de proximité ;
- l'apparition d'une fracture relationnelle entre les quartier "hauts" et les quartiers "de la plaine" ;
- une vie locale absorbée par Sommières ;
- des liens et une circulation entre quartiers irrationnels ;
- des nuisances générées par plusieurs axes de circulation à trafic moyen à fort ;
- un trafic de transit par le centre du village excessif ;
- un accroissement de la circulation automobile augmentant les risques d’accidents ;
- une partie du territoire exposée à des risques importants d’inondations ou d’incendies de forêt ;
- des capacités d’assainissement et des ressources en eau insuffisantes pour faire face à l’accroissement actuel de la population ;
- des ressources naturelles en voie d’altération (risques de pollution des nappes phréatiques, terres agricoles, espaces boisés…) ;
- une faiblesse et une insuffisance de qualité des équipements communaux (espaces publics).
En deux mots : une qualité de vie en perte de vitesse !